Ce jeudi 16 février 2023, le British Medical Journal a publié les résultats des recherches d’une équipe internationale sur les arguments de santé mis en avant sur les sites des fabricants de préparations pour nourrissons et concernant quelques 600 produits commercialisés dans 15 pays.
Bien que la France ne soit pas concernée par cette étude, les entreprises du Secteur Français des Aliments de l’Enfance (SFAE) rappellent que les laits infantiles mis sur le marché français sont spécifiquement formulés pour répondre aux besoins nutritionnels des tout-petits et soumis à des règles strictes en matière de composition, de sécurité et de communication.
Lancée en 1981 et conduite tous les 8 ans par le Secteur Français des Aliments de l’Enfance (SFAE), l’étude Nutri-Bébé procure une photographie fine et unique des pratiques et consommations alimentaires en France des enfants de moins de 3 ans ainsi que leurs évolutions.
A l’aube de la nouvelle édition de l’étude Nutri-Bébé, le Secteur Français des Aliments de l’Enfance rappelle les grands principes de l’alimentation des bébés, pilier essentiel de leur développement lors de leurs 1000 premiers jours de vie comme l’indique l’OMS depuis 2010, et montre l’importance d’une alimentation adaptée à leurs besoins.
Suite à une publication dans le British Medical Journal sur les tests réalisés sur les laits infantiles, les entreprises du SFAE rappellent qu’une réglementation européenne très stricte garantit une composition adaptée aux besoins nutritionnels des tout-petits de 0 à 3 ans.
Dans les premiers mois de sa vie, l’alimentation du bébé est exclusivement lactée grâce à l’allaitement maternel ou au lait infantile lorsque la maman ne peut ou ne souhaite pas allaiter. A 1 an, l’alimentation est complètement diversifiée mais l’enfant doit encore idéalement consommer 2 biberons de lait infantile par jour car il aborde une période de croissance intense qui nécessite des apports très spécifiques pour éviter les carences, notamment en fer.
Le 25 octobre marque le retour de l’heure d’hiver. Il peut induire des perturbations du rythme biologique et influer sur le sommeil ou l’appétit du bébé. Modifier ses habitudes progressivement et respecter le temps d’adaptation de l’enfant permet une transition en douceur qui ne perturbera pas trop le rythme des journées.
Les entreprises du Secteur Français des Aliments de l’Enfance ont à cœur de garantir la sécurité des produits. Elles soutiennent les efforts des autorités françaises et européennes qui visent à aboutir à une position au sujet de la présence d’huiles minérales dans les laits infantiles.
Qu’ils se sentent père dès l’annonce de la grosses, seulement le jour de la naissance ou à un autre moment, les papas ont un rôle à part entière dans le développement de leur tout-petit et ceci dès ses premières heures de vie. Ils bercent, câlinent, jouent, donnent à manger ou encore changent leur bébé… A travers une enquête menée auprès de 500 d’entre eux, le SFAE dresse le portrait de ces jeunes papas concernés et impliqués et fait un focus sur leurs habitudes concernant l’alimentation et l’équilibre nutritionnel de leur tout-petit.
Depuis le 17 mars dernier, la France connaît une situation sans précédent due à la pandémie de coronavirus Covid-19. Confinés, les Français s’adaptent et doivent trouver des moyens de concilier vie professionnelle et vie de famille. Et quand ils ont des enfants en bas âge, la charge mentale peut être décuplée. Pour les accompagner, le SFAE et ses entreprises adhérentes se mobilisent autour de 3 engagements majeurs: approvisionnement, praticité et qualité nutritionnelle.
La norme AFNOR NF V90-001 et son logo aideront désormais les parents à choisir plus facilement les produits répondant aux besoins nutritionnels et aux exigences de sécurité alimentaire de l’enfant âgé de 0 à 3 ans. Fruit d’un travail réalisé en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés par l’alimentation infantile et sous l’égide de l’organisme de normalisation AFNOR, elle se veut une réponse aux attentes et interrogations des parents sur la bonne manière d’alimenter leur enfant en bas âge.