Votre enfant a désormais 10 mois et le lait 2ème âge qu’il consommait jusqu’à présent ne répond plus entièrement à ses besoins nutritionnels. Votre pédiatre vous a certainement proposé de passer au lait de croissance.

Votre entourage, lui, vous a peut-être conseillé de donner plutôt du lait de vache à bébé. Et pourquoi pas ces laits végétaux, qui sont souvent présentés comme une alternative saine au lait traditionnel ? Bref, vous êtes un peu perdu quant aux laits adaptés à la petite enfance…rassurez-vous, vous êtes au bon endroit ! 

On vous explique aujourd’hui quels sont les laits adaptés aux petits à partir de 10 / 12 mois, et lesquels sont à proscrire pour l’aider à bien grandir !

Le lait de vache, pas adapté pour les enfants de 10 mois à 3 ans.

Il peut être tentant de donner du lait de vache à bébé : pas de préparation, peu cher, bébé partage le même lait que le reste de la famille…Et c’est bien là tout le problème : à 10 mois, un tout-petit n’a pas le système digestif d’un adulte, et ses besoins nutritionnels restent bien particuliers pour soutenir sa croissance fulgurante !

Le principal « reproche » que l’on peut faire au lait de vache pour un bébé, c’est sa teneur en protéines. Il en contient en moyenne deux fois plus qu’un lait de croissance. Les protéines sont nécessaires pour la croissance de l’organisme : elles soutiennent le développement des muscles, elles contribuent au renouvellement des cellules cutanées et à la pousse des cheveux, des ongles, et garantissent des dents saines et la bonne minéralisation des os. Elles œuvrent également pour le bon fonctionnement des défenses immunitaires, et aident bébé à lutter contre les bactéries et les virus ! Mais point trop s’en faut : on estime que les petits français, à partir de 10 mois, en consomment déjà trois à quatre fois trop dans leur alimentation quotidienne…

Opter pour le lait de croissance est ainsi une bonne solution pour corriger en partie ce déséquilibre. 

Car un apport trop important en protéines n’est pas sans conséquences : les reins de bébé sont encore immatures, et stocker ces protéines leur demandent beaucoup d’effort et d’énergie. Le principal risque est donc de créer une surcharge rénale à moyen terme, voire une obésité à long terme. 

Autre argument en défaveur du lait de vache : il est pauvre en fer ! Si la teneur en fer peut varier selon le lait utilisé, on considère que le lait de vache apporte en moyenne 30 fois moins de fer que le lait de croissance !  Un point non négligeable quand on sait qu’un enfant sur deux n’a pas d’apports suffisants en fer. Deux biberons de lait de croissance par jour, soit environ 500ml, permettent de couvrir 80% des apports journaliers recommandés. 

On trouve également dans le lait 3ème âge des oligo-éléments comme le zinc, des minéraux comme le sodium, le potassium, le calcium, le phosphore, le magnésium…et des vitamines (vitamine A, les vitamines B1 à B9, B12, C, D3, E…), essentiels à la croissance de bébé !

Quid des laits de chèvre et de brebis pour un bébé ? Ils sont également déconseillés, et pour les mêmes raisons que le lait de vache : leur richesse en protéines est inadaptée à un tout petit.

Pour en savoir plus sur la composition d’un lait de croissance, nous vous invitons à lire notre article Lait de croissance : quelle composition ? 

Les laits végétaux, sans intérêt nutritionnel pour bébé

Lait d’amande, de soja, d’avoine, de noisette…les laits végétaux ont le vent en poupe ! Présentés comme une alternative healthy au lait de vache, vous vous demandez si vous pouvez les proposer à bébé en remplacement de son lait infantile ? La réponse est non ! Contrairement à la croyance générale, ces boissons ne sont en réalité pas des laits : seuls les produits émanant d’un animal peuvent prétendre à la dénomination de laits ou de produits laitiers. Il s’agit en fait de jus végétaux, et la Cour Européenne de Justice a rendu un arrêt qui stipule que ces produits doivent être renommés pour éviter toute confusion dans l’esprit des consommateurs.

 

Ces jus n’ont en réalité que peu d’intérêt nutritionnel : ils contiennent principalement de l’eau et sont souvent dépourvus de vitamines et de calcium. Consommés quotidiennement, ils peuvent entraîner un retard de croissance et une malnutrition chez un tout petit.

Attention : Certaines formules infantiles sont élaborées à partir de riz ou de lait de chèvre, par exemple. Ils sont destinés aux enfants intolérants au lactose et / ou allergiques aux protéines de lait de vache et leurs formules ont été retravaillées pour apporter à bébé tous les nutriments nécessaires à sa santé. Ils n’ont donc rien à voir avec les laits végétaux précités. Si vous suspectez une allergie au lait chez votre enfant, parlez-en à votre pédiatre qui lui seul pourra vous conseiller le type de lait à envisager en remplacement.

Lait de vache, lait de soja, lait d’amandes…Vous l’aurez compris, aucun d’eux ne peut prétendre être un lait de croissance adapté à un petit ! Préférez les laits de croissance classiques pour votre enfant, jusqu’à l’âge de 3 ans.

Envie d’en savoir plus sur le lait de croissance et d’obtenir des réponses à toutes les questions que les parents se posent ? Rendez-vous sur notre page Instagram pour visionner le replay de notre live sur les laits de croissance, animé par la pédiatre Sandra Brancato.

 

Changer les couches, donner le bain, bercer bébé pour l’endormir…autant de nouveaux gestes que les jeunes pa-rents doivent apprendre à la naissance de leur enfant ! N’oublions pas la préparation des biberons, une tâche ô combien importante si la maman n’a pas souhaité ou pas pu allaiter. Si vous allez certainement devenir un pro du biberon dans quelques temps, les débuts ne sont pas toujours évidents, et comme pour tout, cela s’apprend ! On vous explique aujourd’hui comment préparer un biberon dans les règles de l’art, même quand bébé s’impatiente !

Etape 1 : L’hygiène avant tout !

Une règle de base à rappeler : on prépare toujours le biberon sur un plan de travail propre, et on se lave les mains avec du savon avant de commencer, pour ne pas introduire de bactéries dans le lait de bébé. 

Etape 2 : Remplissez le biberon d’eau

Toutes les eaux ne sont pas bonnes pour bébé ! Si vous choisissez une eau en bouteille, assurez-vous qu’elle com-porte la mention « adaptée à l’alimentation du nourrisson ». Les eaux comportant cette mention répondent à un cahier des charges strict et à 40 critères de qualité définis par l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation (ANSES) 

Il est tout à fait possible d’opter pour l’eau du robinet si celle-ci contient peu de nitrates, de fluor et de sodium et si sa minéralisation est faible. Pour vous en assurer, une seule solution : prendre contact avec votre Mairie ! Veillez également à la qualité de vos canalisations, celles des maisons anciennes (années 40 et avant) pouvant contenir du plomb.

Une astuce si vous n’avez pas d’eau potable à portée de main, comme par exemple lors d’un séjour à l’étranger : faites bouillir l’eau au préalable, laissez-la refroidir, vous pourrez ensuite l’utiliser pour le biberon de bébé !

Etape 3 : Des mesurettes arasées

Munissez-vous de la mesurette présente dans votre boîte de lait. Quelle que soit la marque, la règle est la même : une mesurette pour 30 cl d’eau. Remplissez-la et arasez-la en utilisant le rebord prévu dans la boîte, ou un cou-teau. Ne tassez pas le lait, et ne touchez pas la poudre avec les doigts pour éviter les contaminations. 

De même, évitez de laisser la dosette sur le plan de travail après utilisation et remettez-la immédiatement dans la boîte. 

Etape 4 : Mélangez eau et lait en poudre

Mélangez eau et lait sans tarder en faisant rouler le biberon entre vos mains et en le secouant énergiquement de haut en bas pour éviter la formation de grumeaux. 

Important : si vous partez en balade, ne préparez pas votre biberon avant de partir. Placez plutôt d’un côté l’eau dans le biberon, de l’autre les doses de lait dans une boîte doseuse, et réunissez les deux au moment où bébé a faim.

Etape 5 : Faire chauffer le biberon…ou pas !

Si vous faites chauffer votre biberon, utilisez un chauffe-biberon adapté, qui va automatiquement porter le mé-lange à bonne température, aux alentours de 37°C. L’avantage ? Aucun risque que le lait ne soit trop chaud, et il sera mieux digéré s’il se rapproche de la température du lait maternel. 

Evitez toutefois d’utiliser le micro-ondes : outre le risque important de brûlure, il détruit les vitamines et les pro-biotiques contenus dans le lait…

Vous pouvez également chauffer l’eau avant de mettre le lait, ce qui favorise la bonne dissolution de la poudre. 

Il est tout à fait possible de donner le biberon à bébé sans le faire chauffer, à température ambiante, si votre tout petit y est habitué !

Etape 6 : Régalez bébé !

Votre biberon est prêt à être consommé, et vous pourrez conserver le mélange pendant une heure si bébé n’est pas un gros mangeur ou à tendance à fractionner sa prise de lait. Après une heure, pas d’hésitation : il faut le jeter sans remords, car la prolifération des bactéries est importante. 

 

Etape 7 : On nettoie…et on recommence !

Une fois consommé (ou après une heure), lavez le biberon sans tarder avec un liquide vaisselle adapté (certains portent la mention « convient au lavage des biberons ») et un goupillon qui vous permettra de bien nettoyer la tétine. Laissez-le sécher à l’air libre, par exemple sur un arbre à biberons, et n’utilisez pas de torchons. 

La stérilisation, qui avait le vent en poupe il y a quelques années, n’est aujourd’hui plus conseillée si la préparation et le lavage du biberon sont faits dans le respect des règles d’hygiène.

Avec un peu de pratique, vous saurez très vite préparer un biberon dans les règles de l’art et (presque) les yeux fermés !

Les aliments de l’enfance, aussi appelés baby food en anglais, désignent les aliments conçus et préparés pour les enfants de 0 à 3 ans. Si on pense souvent en premier aux petits pots de légumes, ils englobent en réalité une grande variété de produits : le lait infantile, les petits plats pour le midi et le soir, mais aussi les céréales infantiles, les biscuits pour bébé, les compotes, les laitages pour les tout-petits (brassés, yaourts…) font partie des aliments de l’enfance, et ce, quel que soit leur format : en gourde, en pot, surgelés…Ils accompagnent bon nombre de parents au quotidien, qui ont bien compris qu’ils présentaient de nombreux avantages. Détaillons-les ensemble dans cet article : voici 5 bonnes raisons de donner des aliments de l’enfance à votre bébé !

Raison n°1 : une sécurité inégalée pour les aliments de l’enfance

Saviez-vous que les aliments de l’enfance subissent de multiples contrôles avant d’arriver dans l’assiette de bébé ? Un petit pot ou un petit plat sera contrôlé 165 fois au cours de sa production. Matière première, production, emballage, produit fini : pas de concession, à chaque étape l’aliment est passé au crible ! Par exemple, 10 échantillons seront nécessaires pour valider l’absence de listéria, contre 1 seul pour l’alimentation courante. Les limites en résidus de pesticides sont 500 fois plus strictes, et celles en nitrate sont 10 fois plus stricts. Les colorants, édulcorants et conservateurs sont tout simplement interdits. En optant pour un aliment de l’enfance, vous faites le choix d’un produit sûr, bien plus contrôlé que les produits pour adultes ou les fruits et légumes achetés dans les différents réseaux de distribution.

Raison n° 2 : Ils ont toujours la bonne texture !

Très lisse, mouliné, grossièrement mixé, avec des morceaux…pas facile de savoir quelle texture donner à quel âge. Avec les aliments de l’enfance, pas d’inquiétudes : les textures évoluent selon les tranches d’âge pour toujours proposer à votre enfant celle qui est la plus adaptée !

Raison n°3 : Ils répondent aux besoins nutritionnels des bébés

Apporter la juste dose de glucides, de protéines, de lipides n’est pas toujours évident. Si le fait maison est aussi une très bonne option, beaucoup de parents oublient de rajouter des matières grasses (l’huile de colza étant la plus indiquée pour apporter à bébé des acides gras essentiels, comme les fameux Oméga 3), ont tendance à saler un peu trop pour que le plat de bébé soit moins fade, ou donnent trop de protéines. Un bébé n’est pas un adulte miniature, et ses besoins restent bien spécifiques jusqu’à l’âge de 3 ans. Lui donner un aliment de l’enfance, c’est avant tout lui proposer un petit plat 100% adapté à son âge, pour l’aider à bien grandir !

Raison n° 4 : les aliments de l’enfance sont pratiques !

On ne va pas se mentir : les aliments de l’enfance sont pratiques et représentent souvent un véritable gain de temps dans la vie souvent bien remplie des jeunes parents ! Faciles à réchauffer, faciles à transporter, ils vous suivent dans tous vos déplacements et vous permettent de nourrir sans attendre un bébé qui s’impatiente. Les laitages infantiles par exemple, sont pasteurisés pour pouvoir être conservés hors du frigo. Vous pouvez les emmener dans toutes vos balades, au parc, à la plage, sans vous soucier de transporter une glacière. Et le format gourde, proposé par de nombreux fabricants, est parfait pour combler une petite faim sans transporter de couverts, et sans se salir !

Raison n° 5 : les goûts sont variés pour nos petits gourmets !

Pour proposer à bébé des recettes variées tous les jours, rien de tel que les aliments de l’enfance ! Ils mettent à votre portée une grande variété de goûts pour les repas du midi, du soir et les goûters. Ils mettent à votre portée de nouvelles saveurs, parfois difficiles à trouver hors saison, ou des fruits et légumes qu’on ne pense pas toujours à cuisiner, comme l’artichaut ou le topinambour. Bref, ils permettent d’éveiller bébé au goût, d’autant que les recettes sont élaborées par des grands chefs pour satisfaire votre petit gourmet. Un dernier point : on entend souvent dire que les petits pots et petits plats pour bébé sont fades. Il n’en est rien : bébé n’a pas le même palais que vous, et donc pas le même référentiel. Comptez sur les aliments de l’enfance pour le régaler !

Occasionnellement ou quotidiennement, les aliments de l’enfance sous toutes leurs formes sont une très bonne solution pour faciliter la vie des jeunes parents, qui peuvent les proposer sans aucun complexe ni culpabilité à leur tout petit !

Vous le savez, un apport suffisant en vitamines est indispensable pour la bonne croissance de votre bébé, et ce dès sa naissance. Si on parle beaucoup des vitamines les plus connues (A, C et D entre autres), il en est une, un peu moins courante, qui ne doit toutefois pas être négligée : la vitamine B12. Également appelée cobalamine, elle est essentielle au bon développement du cerveau, du système nerveux et de l’organisme en général, d’où l’importance pour un tout petit de la consommer en quantité suffisante. Zoom sur cette alliée, qui aide bébé à bien grandir !

Quel est le rôle de la vitamine B12?

La vitamine B12 est essentielle au corps humain, à tout âge. Elle intervient à différents niveaux :

  •  Elle garantit le bon fonctionnement du système nerveux, en maintenant notamment l’intégrité de la myéline, cette gaine qui protège les nerfs et les aide à bien fonctionner.
  •  Elle soutient la multiplication des cellules de l’organisme (notamment des cellules sanguines), un point important pour un petit corps en pleine croissance !
  • Elle contribue au bon fonctionnement du système immunitaire
  • Enfin, comme toutes les vitamines du groupe B, elle contribue à fournir de l’énergie au corps humain !

On la trouve principalement dans les aliments d’origine animale : viande, poissons, abats, œufs, produits laitiers, fruits de mer. Les fruits, céréales et légumes en sont dépourvus, d’où le risque de carence chez les végétariens. Les végétaliens, qui excluent toute consommation de produits d’origine animale, n’ont aucun apport en vitamine B12, d’où la nécessité de prévoir une supplémentation via des compléments alimentaires.

La vitamine B12 est stockée principalement dans le foie, et les signes de carence ne sont pas toujours évidents à repérer, car ils peuvent se manifester plusieurs mois (voire plusieurs années chez l’adulte) après un manque d’apport. Les études montrent ainsi que les premiers signes de carence chez un nourrisson ne se manifestent qu’à partir de 3 à 6 mois[1].

Une consommation insuffisante de vitamine B peut entraîner une anémie, des troubles neurologiques et des retards de croissance chez un bébé. Comment alors, s’assurer que votre enfant en consomme en quantité suffisante ?

[1] Voir Lettre Nutrition de l’enfant de juin 2017 pour une analyse complète

Apports en vitamine B12 chez un bébé

Les apports nutritionnels conseillés sont de 0,4 µg/jour en dessous de 6 mois, de 0,5 µg/jour de 6 mois à 1 an, puis de 1,5 µg/jour de 1 à 3 ans.

Tant que le lait constitue la seule alimentation de bébé, il n’y a en général pas de carence possible en vitamine B12.

  •  En effet, si bébé est allaité : le lait maternel contient la vitamine B12 absorbée par la maman – sous réserve que celle-ci ne soit pas végétalienne, auquel cas une supplémentation devra être envisagée le temps de l’allaitement (via un accompagnement médical) .
  •  Si bébé prend le biberon : la vitamine B12 fait partie des vitamines qui sont ajoutées aux formules des laits infantiles, conformément aux critères réglementaires (Règlement délégué (UE) 2016/127 du 25/09/2015) qui imposent une présence de vitamine B12 entre 0,1 µg à 0,5 µg/100 kcal. Votre bébé en consomme donc dans les bonnes proportions !

Les choses peuvent se corser quand bébé a commencé la diversification (à partir de 4/6 mois) et que la proportion de lait, maternel ou infantile, a diminué en conséquence. Rassurez-vous, il est assez facile de s’assurer que votre enfant ne manque pas de vitamine B12.

 

Vitamine B12 et diversification alimentaire

La solution pour lui garantir des apports suffisants en vitamine B12 ? Tout simplement lui proposer des petits plats variés, en mettant au menu du poisson, de la viande ou des œufs chaque midi (les quantités et textures devant être adaptées à l’âge de l’enfant). Le risque de carence est écarté dans le cadre d’une alimentation équilibrée, qui n’exclut pas les produits d’origine animale.

Une bonne option est de choisir des petits plats ou petits pots déjà prêts, qui contiennent tous les apports nutritionnels adaptés à l’âge de votre bébé. Vous êtes ainsi sûre qu’il ne manque de rien ! De la même façon, continuer de proposer un lait de croissance après 10/12 mois est une bonne façon de combler ses besoins en vitamine B12. A partir de 12 mois, privilégiez le lait de croissance au lait de vache, dont les apports en protéines, fer et zinc sont mieux adaptés au jeune enfant.

Si, pour des raisons éthiques ou personnelles, votre bébé ne consomme pas de produits d’origine animale (pas de lait, pas de viande, poisson ou œufs…), il est important de faire part de ce choix à votre pédiatre ou à votre médecin, car vous éliminez de fait toutes les sources possibles d’apport en vitamine B12. Ce type d’alimentation n’est possible que sur avis médical et nécessite un suivi régulier pour s’assurer de la bonne croissance de bébé. Dans ce cas, votre médecin vous prescrira des compléments alimentaires sous la forme la plus adaptée à l’âge de votre enfant.

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[1] Voir Lettre Nutrition de l’enfant de juin 2017 pour une analyse complète